Une blessure inconnue !

Le 3 Ganis en 1242, vers les trois heures du matin. L'aubergiste de Proncilia aurait trouvé la petite Vipéria affalée sur le sol inconsciente. Sa peau était froide, ses cheveux noirs détachés, son visage salit par la sueur et la poussière du sol. Ses yeux restant ouverts. Au début L'aubergiste aurai cru à un cadavre. Mais ce n'est que en la transportant qu'il senti sa respiration. Aucun autre choix que de la déposer dans sa chambre ou elle résidait en ce moment et de prévenir un médecin le plus proche. Après l'avoir examiné il c'est rendu compte que Vipéria avait une blessure à la hanche encore toute fraiche née d'il y avait à peine quelques heures et de cela légèrement soignée. Au début le médecin pensé que c'était du à un empoissonnement et par la suite une infection et ce n'est qu'après les analyses plus approfondie... Que aucune de ces idées n'est la cause de ce phénomènes. Le médecin choisi de rester toute la nuit au chevet de la jeune demoiselle jusqu'à son réveil. Afin de lui demander par la suite si elle avait une idée de la cause de son état.

Une fois les yeux ouvert la demoiselle répondit que elle ne se souvenait de rien... juste un léger souvenir de cette blessure causé par un carreau tiré de derrière son dos par un homme dissimulé sous une capuche.

- Hum... Le médecin hocha la tête et reprit le chemin de son cabinet avec l'esprit bien songeur.
Sans même faire payer Vipéria il lui souhaita un bon rétablissement et lui conseilla d'aller porter plainte à la garde royale. Sur cette agression mystérieuse.

Je ne vois pas vraiment ce que ce texte fait dans les événements.

A la rigueur sur le forum RP et la Citadelle pour la sauvegarde des RP... Mais ce n'est pas le but de ce forum.

Nefar a écrit:

Si ces rumeurs débouchent sur des évènements, tu peux les poster ici dans la section "évènements" et même les poster sur le forum rôleplay

Salut à toi Tyroine... J'ai demandé et voila la réponse qu'on ma cité...

Ensuite la suite donnera à un événements soit en sur .

( Musique d'ambiance "clic" )

Dans la nuit du 3 au 4 Renop. À Proncillia. Tout le monde avait du mal à dormir à cause d'une mélodie causé par un violon. Vipèria observait la rivière éclairée par le reflet de la lune tout en jouant de sa musique qu'elle ne pouvait plus se passer. En caressant les cordes de son violon à l'aide de son archet elle ne laissa échapper qu'une mélodie en résonance appuyée sur les aigus. Accompagnant cette symphonie au rythme du courant de l'eau, elle en ferma les yeux pour en créer une parfaites harmonies avec tous les sons de la ville qu'elle pouvait encore entendre. Alors qu'ils ne fessaient plus qu'un ! Ses yeux se mit à faire naître des larmes de tristesses qui vécurent sur ses joues pour enfin mourir sur ses lèvres qu'elle mordilla. Un choix difficile maintenant est à faire pour elle.

Fuir ou continuer ! Elle savait bien que la ville ne voulait plus d'elle. Beaucoup de monde en avait maintenant peur. Terrorisée elle même par ce qu'elle est. Vipèria savait très bien que seul la musique pouvait la sauver et de réussir à se faire pardonner par les siennes. En admiration par les humains elle ne savait plus quoi faire sachant que " Péliade " pouvait à tout moment détruire tout ce que elle aime. Habituellement naïve, elle savait qu'elle ne devait plus se laisser duper par cette personne assoiffée par la vengeance qui la ronge depuis toutes ces années. En continuant de jouer elle se mit à parler.

" Je me suis faites bannie pour t'avoir connu
J'en suis tombée folle.
Et une fois que j'ai tout renié, tout abandonnée
Pour ce que j'appelai l'amour.
On m'a exilé pour avoir essayé de t'aimer.


Mais maintenant je suis si fatiguée d'être ici,
Étouffée par mes craintes enfantines
Et si tu dois partir
J'aimerais que tu partes tout simplement.
Car l'ombre de ta présence persiste
Et elle ne me laissera pas en paix

Il semble que ces blessures ne cicatriseront pas
Cette douleur n'est que trop réelle
Il y en a simplement trop pour que le temps puisse effacer

Quand tu pleurais, j'essuyais toutes tes larmes
Quand tu criais, je combattais toutes tes craintes
J'ai tenu ta main pendant toutes ces années
Mais tu as toujours
Tout de moi

Autrefois, tu me captivais
Par ta lumière résonnante
Maintenant je suis restée prisonnière de cette vie que tu as laissée
Ton visage hante
Mes rêves autrefois agréables
Ta voix a chassé
Toute la raison en moi

J'ai tant lutté pour me convaincre que tu étais bien partie
Mais bien que quelque part tu sois toujours avec moi
Je suis seule depuis le début...

Je sais que je t'aime toujours. Péliade en est la preuve. Elle est ce que tu es et elle veut te retrouver. Mais le veux-je aussi ? On c'est dit adieu en même temps que tu es partie. Maintenant que je sais ce qui me manque. Tu peux me laisser. Laisse moi à nouveau redevenir réelle.

C'est enfin l'aube. En relevant les yeux elle apercevait la lumière du soleil qui l'éblouit. Elle sourit à présent car elle avait réussi à combattre Péliade cette nuit. Ne laissant qu'un dernière son disparaître de son violon . Elle se retourna enfin pour rejoindre l'auberge et de retrouver son lit afin de pouvoir dormir en paix jusqu'au prochain aurore.